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La correspondance de Laurence Rousselin avec Guillaume Audru
Laurence Rousselin, vigneronne en Roussillon, entretient une correspondance orientale avec Guillaume Audru...

Guillaume Audru :
Sa dernière parution :
"Nous sommes bien pires que ça" 
(Éditions du Caïman)


Le "nez" de Onzième Sens

C'est une histoire de rencontre, et de correspondance. Dans Onzième Sens, nous allons conjuguer les uns et les autres. Nous pensons que nous composons, viticulteurs, vignerons, auteurs, une vraie communauté d'esprit et de sens. Pour cette première cuvée, nous explorons le lien unissant Laurence et Pascal Rousselin, vignerons à Lesquerde, dans le Roussillon, à Guillaume Audru, le romancier noir des Highlands. Laurence et Pascal font du vin bio et nature depuis trente-et-un ans face au Canigou, à la force de l'enthousiasme, et du poignet. Guillaume, pour sa part, publie aux éditions du Caïman, la robuste maison stéphanoise, des polars marqués par le granit. D'Écosse, pour "L'Île des hommes échus" et "Les chiens des Cairngorms", ou bien d'Aubrac et de Corrèze pour "Les ombres innocentes". Son dernier roman, "Nous sommes bien pires que ça",

"L'Orientale", un vin à l'image de ses créateurs,
par Guillaume Audru


Ma rencontre avec la cuvée "Les Orientales" du Domaine Rousselin n’a rien d’un parcours qu’on pourrait qualifier de banal. Ce n’est pas une quille qu’un caviste m’a proposé. L’échange (notion importante, on le verra plus tard) a d’abord commencé sur un réseau social. Par qui, comment, pourquoi, l’histoire a jeté ces détails aux oubliettes. Toujours est-il qu’on n’a pas forcément discuté de vinifications au départ. De fil en aiguille, des parcours de vie se sont dévoilés, des intérêts communs ont été mis à jour. Des engagements sociaux, des valeurs qui méritent qu’on s’y intéresse. Du rock, du vrai. De la littérature et des textes qui prennent aux tripes.

   « J'ai écouté ce que leurs vins avaient à me raconter ».

Je ne me suis pas seulement abreuvé à leur savoir. L’expression serait trop facile, un poil galvaudée. Non, j’ai écouté ce que leurs vins avaient à me raconter....
Mais, comme je l'ai mentionné plus haut, les Orientales, c'est aussi une rencontre. Un échange autant littéraire que viticole. Avec Laurence et Pascal, j'ai eu l'occasion de longuement discuter autant de pinard (au sens noble du terme) que de littérature aussi bien noire que blanche. De fil en aiguille, ils ont intégré ma petite équipe de fidèles bêta-lecteurs. Mais ça, c'est encore une autre histoire...

                                                                                       Guillaume Audru


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